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Terrorisme et islamisme : passer des paroles aux actes

« Ils viennent jusque dans nos bras, Égorger nos fils, nos compagnes »

Rarement les mots de la Marseillaise n’ont si bien traduit le danger auquel la France est confrontée. A travers la décapitation de Samuel Paty, c’est aussi Marianne qui a été assassinée.

Si nous savions déjà que la France est une cible, reconnaissons que la menace du terroriste islamiste qui pèse sur notre mode de vie, sur ce que nous sommes, vient d’apporter une nouvelle preuve de sa barbarie.

Attentat après attentat, l’arsenal législatif et répressif a été modifié pour tenter de s’adapter à cette menace, sans, pourtant, être véritablement durci, ne protégeant pas assez les Français.

Après avoir longtemps refusé la fermeture des mosquées salafistes, la dissolution du Conseil contre l’islamophobie en France, l’expulsion des 4 000 étrangers fichés S et délinquants, et les enquêtes administratives systématiques avant l’embauche dans tous les emplois sensibles, le gouvernement amorce un changement de doctrine. Malheureusement, il ne va pas jusqu’au bout en prenant les mesures qui s’imposent et que nous réitérons aujourd’hui (cf. publication ci-dessous).

Par ailleurs, le projet de loi du gouvernement sur la laïcité devra être à la hauteur de l’enjeu. Malheureusement, en renonçant à parler de séparatisme, c’est déjà une reculade du gouvernement, alors même que l’islamisme a gangrené des territoires entiers.

L’heure doit être à un véritable sursaut et à une réaction intransigeante. Les mots ne suffisent plus. Ils coulent comme le sang déjà trop souvent versé. Il est temps de passer aux actes !

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